
Je ressortirai cela aux ayatollahs du vinyle qui me pompent l'air avec la qualité du son.
Bon c'est un HS mais osef.
Alors pour faire simple :
De nos jours, 99,9 % des enregistrements se font en numérique et sont traités numériquement, compression, reverbe à convolution, équalisation... l'ingénierie à très bien réussi à recréer et simuler n'importe quel matériel (SSL, UA Audio, Helicon, DBX et j'en passe). Éventuellement on les masterise en analogique dans un gros Manley qui claque.
Une fois qu'on a le master différentes options :
- on le revend brut en HD (24 bits et 88.2 ou 96 khz), l'intérêt se discute et fait débat.
- on le revend en numérique qualité CD (16 bits 44,1 Khz)
- on créé un support analogique, vinyles, à partir de ce fichier numérique, qui bien entendu en pourra jamais être supérieur au fichier initial.
Pour les 0,1 % restant, là le pressage vinyle prend tout son sens, dans la mesure on on n'aura jamais de numérisation, et donc de perte dans le traitement du signal.
Après pour un avoir un bon son en vinyles il faut :
- une bonne platine super régulière
- un bras lourd mais parfaitement équilibré
- une cellule de qualité
- un préampli (adapté à la bobine bien évidemment) de qualité
- un support proche du neuf.
Pour un bon son en numérique il faut :
- un bon DAC et nombreux font préampli
- un bon fichier
- un bon lecteur (réseau ou PC avec logiciel bit perfect)
Mais j'aime l'idée qu'en galette chaque écoute est meilleure que la prochaine, ça rend l'instant plus vivant et bien moins fade qu'une sélection de fichier HD sur une tablette.