Je ne fais pas d'amalgame. Ce n'est pas si hors sujet que ça.
La fortune des plus riches de ce monde a doublée depuis cette "crise". Je parle des Bezos, Gates, Zuckerberg, Musk, etc... C'est en tout cas ce que rapportent de nombreux journaux dans le monde. D'après Oxfam, cela contribue à la mort directe d'au moins 21000 personnes par jour, par exemple par manque d'accès aux soins ou à cause de la crise climatique (contre laquelle ces ultra riches ne font rien, bien au contraire). Certains pays sont déjà très impactés (pour eux, le changement climatique n'est pas une vague projection à long terme) pendant qu'on continue à s'acheter des consoles de jeu et des canapés, mais ça viendra chez nous dans très peu de temps à mon humble avis, la forte résilience du système capitaliste vient de sa plus grande faiblesse, son interdépendance. Pour l'instant ça résiste étonnamment bien, mais ça ne tient pas à grand chose, et ça ne dépend surtout pas que de notre pays (quel qu'il soit).
Quel rapport entre les riches qui deviennent plus riches et la mort de gens ? Là où certains s'enrichissent, la pauvreté progresse forcément ailleurs : en exploitant certaines régions déjà pauvres jusqu'à la moelle pour certaines ressources par exemple, sans fournir à ces régions des infrastructures pour mieux soigner, mieux éduquer ou améliorer les conditions de vie des habitants qui sont littéralement en mode survie.
Mais il n'est nul besoin d'aller à l'autre bout de la planète pour le constater, rien qu'en France, il y a beaucoup de gens qui meurent de faim, d'un manque de soins, d'une absence de toit. Mais on en parle pas, c'est pas aussi vendeur qu'un méchant virus. Ces sales pauvres peuvent mourir, alors que nos gentils gouvernants veulent "prendre soin" de ceux qui rapportent du pognon en les "vaccinant" (pas contre la connerie malheureusement).
J'ai réalisé une série de news documentaires pour un journal il y a 6 ans et j'ai rencontré des gens en grande précarité, visité les structures qui tentent de les aider, composées essentiellement de bénévoles. C'est inimaginable tant qu'on ne l'a pas vu. J'ai visité les fosses communes ou l'on jette les cadavres de tous ceux qui meurent dans la rue ou qui n'avaient rien. Et il y en a beaucoup. Si lorsqu'on voyage (ce qui n'est plus mon cas depuis longtemps, du moins certainement pas en avion), cela parait encore pire, c'est parce-que ça se voit directement. Chez nous, le système social et les nombreuses associations font que ça ne se voit pas, on a pas trop de bidonvilles, et quand il s'en crée un les forces de l'ordre font rapidement le ménage, tout comme les murs des abattoirs n'ont pas de fenêtres. Tout doit paraitre à peu près propre. En 2016, j'ai vu des familles de migrants, avec des enfants en bas âge, en France, se faire expulser par une armada de camions de policiers d'un bidonville qu'ils avaient créé. La presse n'était pas la bienvenue (je travaillais pour un journal à l'époque), mais nous avons réussi à nous infiltrer et à discuter avec ces familles recueillies par des associations de bénévoles. C'était lunaire de voir ça, ces enfants qui pleuraient et ces flics qui leur disaient de déguerpir avec dédain. Mais ce terrain vague occupé avec grande ingéniosité par ces familles qui n'avaient rien, ça ternissait l'image de la commune et ça devait gêner certains habitants dans leur confort. Elle est belle l'humanité.
Alors la richesse... Une fortune de 70 milliards ne passe pas à 140 milliards en faisant de bonnes actions ou le bien pour l'humanité, parce-que le bien pour l'humanité n'est pas rentable dans le monde virtuel et conceptuel que nous avons bâti. Je parle bien de
bien pour l'humanité, pas d'objets de confort ou de luxe pour divertir les humains et leur donner un semblant de bien être totalement factice. Le bien de l'humanité ce serait au contraire de renoncer à ce confort et ce luxe qui est en train de scier la branche sur laquelle nous sommes posés. Comme ça n'arrivera pas, rendez-vous lors du grand crash.
Quand je vois, au cours de ma mission actuelle en montagne, que les gens chauffent leurs appartements ou maison à 23°, 24°, qu'ils laissent les lumières allumées, d'innombrables appareils branchés en veille, je me dis qu'il y a vraiment un problème. Pour moi, c'est exactement pareil que de voir un individu qui conduit totalement bourré, il est en mode balec total. 23° dans un espace confiné, je ne peux tout simplement pas respirer chez eux, étant habitué depuis longtemps à chauffer à 18° la pièce a vivre et 15° pour les chambres. Et on a pas froid du tout. En fait, on s'habitue à tout et on s'y habitue tellement bien qu'on ne veut plus en changer et renoncer à ce qu'on considère comme notre petit "confort". Pourtant, Wim Hof nous apprend qu'il est possible de résister à des froids extrêmes comme nos ancêtres pas si lointains qui n'avaient pas de quoi se chauffer. On a juste perdu cette capacité comme tant d'autres, à force de vivre dans des environnements artificiels surchauffés. Il y aurait tant à dire sur bien d'autres concepts qui nous semblent aller de soit et sont pourtant préjudiciables à notre avenir. Non, le plus important c'est le virus qui donne une grippette (40% d'asymptomatiques, 40% de grippettes, 20% de cas plus sérieux dont 1% de létalité, enfin, personne n'est d'accord sur ce dernier chiffre parce-que les différences sont énormes selon les pays).
Pour en revenir directement à cette "crise", vous conviendrez que le "vaccin" n'en est pas un ? Je pense que si vous regardez la télévision (ce qui n'est plus mon cas depuis 1998), vous savez que ce "vaccin" n'empêche ni de contracter le virus ni de le transmettre. Nous sommes d'accord ? Je sais que certaines personnes l'ignorent, alors que ce n'est pourtant pas un secret ou une obscure théorie alternative mais une réalité.
Donc ce cocktail biologique, qui rapporte des milliards comme jamais aux laboratoires, n'est pas un vaccin au sens strict du terme.
Selon Wikipédia :
« Un vaccin est une préparation biologique administrée à un organisme vivant afin d'y stimuler son système immunitaire et d'y développer une immunité adaptative protectrice et durable contre l'agent infectieux d'une maladie particulière »
Selon Larousse :
« Substance d'origine microbienne (micro-organismes vivants atténués ou tués, substances solubles, ARN messager) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l'immunité à l'égard de l'infection déterminée par les micro-organismes mêmes dont elle provient et parfois à l'égard d'autres infections. »
(on pourrait continuer)
Les deux définitions parlent bien d'immunité, ce que ne confère aucunement ce "vaccin". S'il est quasiment obligatoire, et ce n'est pas un secret non plus, c'est pour diminuer la charge des hôpitaux (donc c'est politique), pas pour éviter la propagation du méchant virus, qui circule très bien (je lui fais un coucou au passage puisqu'il m'a quitté récemment). Ce qui est un aveu que notre système de santé n'est pas prêt à faire face à des pandémies aussi peu létales que celle-ci (quels que soient les chiffres auxquels on adhère, on est quand même très très loin de la grippe de 1918), malgré toute la science dont on se targue de disposer en 2022.
Alors, pourquoi les plus riches (financièrement parlant) ont-ils doublé leur fortune lors de cette crise ? Est-ce parce-que plus les gens ont peur, plus ils sont privés de certaines libertés et loisirs, et plus ils consomment ?
Bon appétit.