Covid-19 : SIRE ! SIRE ! NOUS ALLONS TOUS MOURIR !!!!

  • Auteur de la discussion dartyduck
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vince1053

longuement mais je réponds vite & bien (des fois)
Staff
Pers ça fait bien longtemps que je ne lis plus ces torchons et je regarde les infos télé, une fois de temps en temps pour être au courant de l'actu sans m'arrêter sur les commentaires d'éditorialistes plus que douteux en termes de sources.:o
Quand tu vois qu'on appelle un envoyé spécial( local) pour te dire qu'il ne sait rien, ben là chapeau y de l'info.
Et quand tu les entends, (chui pas académicien) mais ça pique aux oreilles parfois. :eek:
 

dartyduck

Grand Meuble Suprême
Pers ça fait bien longtemps que je ne lis plus ces torchons et je regarde les infos télé, une fois de temps en temps pour être au courant de l'actu sans m'arrêter sur les commentaires d'éditorialistes plus que douteux en termes de sources.:o
Quand tu vois qu'on appelle un envoyé spécial( local) pour te dire qu'il ne sait rien, ben là chapeau y de l'info.
Et quand tu les entends, (chui pas académicien) mais ça pique aux oreilles parfois. :eek:
ou comme hier soir, un reportage complet sur une meuf qui a accouché sur le bord de la route, avec passage de l'enregistrement de l'appel aux pompiers du mari... on s'est regardés avec ma femme, se demandant à quel moment c'était de l'info importante, puis on a zappé sur Friends. je suis affligé :pfff:
 

magellan

Modérâleur
Staff
Je reviens vite fait sur l'article. J'en ai parlé avec une amie proche qui était infirmière. Je ne vous souhaite pas d'avoir au téléphone quelqu'un d'aussi furax! Elle m'a dit en substance "c'est qui cette co...asse!"

Elle m'a alors expliqué en substance que cette situation du "avoir peur/honte" est complètement débile car elle-même ayant passée 20 ans en pédiatrie en hôpital, toute alerte de santé mettant en doute la mère ou l'enfant de manière constatable devait être immédiatement remontée pour précisément tenter d'endiguer toute crise sanitaire. Et cette consigne est bien antérieure au COVID sachant qu'elle a quitté le métier il y a bien 5/6 ans déjà.

Mais bon, on en a parlés, et ce qu'elle affirme aussi, c'est qu'elle a eu des échos de problématiques sur les menstruations chez certaines femmes après la vaccination. Elle a même eu une anecdote: une femme plus âgée, amie de sa mère, ménopausée, qui a eu un léger saignement... Alors forcément gynéco, contrôle, et en bout de chaîne "Hé les filles! J'ai à nouveau mes ragnagna!". On peut en rire, mais ça légitime quand même une petite inquiétude.

Que ça m'agace tout ça... c'est constatable, mais à cause d'un scribouillard ça décrédibilise toute la teneur du propos!
 

magellan

Modérâleur
Staff
ou comme hier soir, un reportage complet sur une meuf qui a accouché sur le bord de la route, avec passage de l'enregistrement de l'appel aux pompiers du mari... on s'est regardés avec ma femme, se demandant à quel moment c'était de l'info importante, puis on a zappé sur Friends. je suis affligé :pfff:
Là encore une fois ne blâmons pas le média, blâmons celles et ceux qui regardent ça et qui confirment aux producteurs "ça attire de l'audimat, continuons!"

Je radote... mais rappelez-vous de l'émission "la nuit des héros" pour bien vous souvenir que ça n'est pas une nouveauté ce genre de cochonnerie télévisuelle.
 

dedzix

Grand Maître
Quelque part les médias font leur beurre sur l'ignorance des gens et la difficulté de croiser les infos pour avoir un peu de matière sur les sujets abordés.

On le voit avec les réseaux sociaux, la plupart des gens s'arrêtent à une info sans creuser un peu plus loin.

Du coup on se retrouve avec des lacunes de raisonnement sur à peu près tous les papiers car comme le disait très bien @magellan , c'est toujours plus ou moins orienté en fonction des opinions de ceux qui les écrivent.

J'estime que le boulot d'un journaliste est de rapporter des news, pas d'en faire des analyses ou en tout cas sans s'appuyer sur ceux qui ont le savoir. Une analyse médicale réalisé par un journaliste est forcément maladroite alors qu'une analyse d'un journaliste élaborant son article en collaboration avec des sachant est autrement plus qualitative.
 

SergioVE

Tout à faire car rien n'est fait.
De là je préfère un journal clair et bien rédigé, ceci même si je suis contre son idéologie, aux torchons putaclicks qui ne font même pas la base même du journalisme.
Un journal clair et bien rédigé peut aussi être source de désinformation malhonnête. Souviens toi de la grande époque de l’Humanité…
 

magellan

Modérâleur
Staff
Quelque part les médias font leur beurre sur l'ignorance des gens et la difficulté de croiser les infos pour avoir un peu de matière sur les sujets abordés.

On le voit avec les réseaux sociaux, la plupart des gens s'arrêtent à une info sans creuser un peu plus loin.

Du coup on se retrouve avec des lacunes de raisonnement sur à peu près tous les papiers car comme le disait très bien @magellan , c'est toujours plus ou moins orienté en fonction des opinions de ceux qui les écrivent.

J'estime que le boulot d'un journaliste est de rapporter des news, pas d'en faire des analyses ou en tout cas sans s'appuyer sur ceux qui ont le savoir. Une analyse médicale réalisé par un journaliste est forcément maladroite alors qu'une analyse d'un journaliste élaborant son article en collaboration avec des sachant est autrement plus qualitative.
Attention. Un journaliste n'a pas pour seul rôle d'être l'écho de l'évènement. Son rôle peut aussi être celui d'analyste et donc par conséquent de donner tant une mise en perspective rigoureuse, qu'une analyse somme toute personnelle... ou dictée par la ligne éditoriale.
En substance le journalisme ne se cantonne certainement pas à n'être qu'un Reuters neutre. C'est là toute l'erreur qu'on fait trop souvent. En revanche, son devoir de neutralité est sur l'aspect fondamental à savoir donner les faits. C'est sur ses conclusions qu'il est relativement libre.
Je rappelle charte de Munich:
- Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
- Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique.
- Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents.
- Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents.
- S’obliger à respecter la vie privée des personnes.
- Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte.
- Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement.
- S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information.
- Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.
- Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.
Je mets en gras les éléments fondamentaux...
 

magellan

Modérâleur
Staff
Un journal clair et bien rédigé peut aussi être source de désinformation malhonnête. Souviens toi de la grande époque de l’Humanité…
C'est pour ça que je dis que je préfère encore contester un article bien rédigé parce qu'au moins je sais qu'en face j'aurai quelqu'un capable de défendre son point de vue même s'il est malhonnête.

Je ne fais aucune distinction dans la responsabilité: celui qui désinforme, biaise, qu'il soit un rédacteur ou un gratte-papier infâme ont à mes yeux les mêmes responsabilités. Tu as parfaitement raison de lever cette réflexion. Tout ce que j'affirme, c'est quitte à devoir défoncer des articles, autant que ce soit sur le fond et pas en prime sur une forme dégueulasse. Cela permettrait déjà d'élever le niveau moyen en terme de forme, mais en plus d'associer le lecteur à un rôle de réflexion.

Faisons une analogie: on va au restaurant. Tu payes un prix dérisoire pour un repas hésitant entre le pas bon et le dégueulasse. Tu sais donc que ce que tu as dans ta gamelle n'est pas terrible. Par contre, si tu choisis le resto plus cher, mieux tenu, et que l'assiette se révèle toute aussi immonde... au final tu vas au moins cher, tu bouffes de la merde et tu l'acceptes par défaut. Il en va de même avec la presse je pense. J'ajoute que le fait de trouver de la merde dans l'assiette du restaurant cher te donne un pouvoir supplémentaire, à savoir avoir le droit de t'en plaindre.
 

dartyduck

Grand Meuble Suprême
Là encore une fois ne blâmons pas le média, blâmons celles et ceux qui regardent ça et qui confirment aux producteurs "ça attire de l'audimat, continuons!"

Je radote... mais rappelez-vous de l'émission "la nuit des héros" pour bien vous souvenir que ça n'est pas une nouveauté ce genre de cochonnerie télévisuelle.
ou pire encore, une nouvelle émission sur RMC Story : les pires accidents de la route (filmés en dashcam ou cam de surveillance). J'ai halluciné quand j'ai vu ça. Le pire du voyeurisme. Mais, comme la nuit des héros, ça reste une amission à part entière, tu regardes si tu en as envie et tu sais à quoi t'attendre. Quand tu regardes les infos, tu t'attends à de l'info, de la vraie info, pas du fait divers :o
 

magellan

Modérâleur
Staff
ou pire encore, une nouvelle émission sur RMC Story : les pires accidents de la route (filmés en dashcam ou cam de surveillance). J'ai halluciné quand j'ai vu ça. Le pire du voyeurisme. Mais, comme la nuit des héros, ça reste une amission à part entière, tu regardes si tu en as envie et tu sais à quoi t'attendre. Quand tu regardes les infos, tu t'attends à de l'info, de la vraie info, pas du fait divers :o
Ben non! Justement!

ça existe depuis...1928 et ça fait un tirage PAPIER dépassant les 100.000 exemplaires à chaque numéro!
Donc de fait: le fait divers fascine, attire, et le voyeurisme n'est pas une nouveauté des médias numériques.

La foule est fascinée par ce qui est inattendu, choquant, par l'exhibition de la misère ou encore de la violence. Les jeux du cirque avaient du succès parce que ça avait des vertus prétendument cathartiques. Je suis bien moins gentil avec ce raisonnement. En vérité? Ce n'est pas la catharsis qui est le fond, le fond c'est que l'humanité est littéralement fascinée par sa propre brutalité. Il n'y a là aucune vertu morale et/ou sanitaire. C'est juste un besoin malsain et profond d'assumer la bestialité potentielle de l'âme.
Et les complotistes sont sur la même veine: l'absence de confiance, la défiance vis-à-vis de l'information/politique/morale publique sont là pour se rassurer sur sa propre lucidité... alors que justement c'est l'exploitation de cette idée fort naïve qui arrange ceux qui en tirent profit. J'ai en horreur les gourous parce qu'ils vendent du libre-arbitre où ils mettent paradoxalement en place une dictature de la pensée unique.
 

mezigo

Modo démodé
Staff
Anecdote : hier, un journaliste du "petit Q" à la TV commentait l'accident mortel de tir sur le tournage d'un film d'Alec Baldwin.
Il a dit "celui qui a appuyé sur la détente". Ça m'a fait plaisir d'entendre ça plutôt que la plupart des fainéants qui cultivent l'ignorance en utilisant l'expression "doigt sur la gâchette".

Le devoir d'un journaliste devrait quand même être de se documenter et de comprendre les mots qu'il utilise. Si les journalistes expliquent savamment qu'un chauffard motard aime appuyer trop fort sur la pédale, ça me hérisse. Je me dis alors que les sujets que je ne maîtrise pas sont traités de la même façon, et que le "bruit de communication" remplace l'information sur trop de sujets.
 

magellan

Modérâleur
Staff
je suis donc un ovni à ne pas avoir envie de voir ce genre d'"info" ?
Ah mais ça n'est pas ce que j'ai dit. J'ai dit qu'il y a une clientèle très large pour ce style, et que les médias vendent ce que les gens demandent. Ne mélangeons pas tout: je refuse mordicus les émissions voyeuristes, je suis à ne surtout pas cautionner ça... Mais je sais aussi qu'il n'y a aucune chance qu'une émission (pourtant déjà très formatée) comme était "7 sur 7" réapparaisse.

Les médias vivent parce qu'ils vendent ce que veulent les gens. Les gens dictent les ventes, pas l'inverse. On a beau jeu de dire que la désinformation et la culture poubelle incombent aux diffuseurs. C'est l'inverse. Si tel était le cas, pourquoi des chaines plus culturelles (comme ARTE... toute proportion gardée) n'ont pas plus de succès? Parce que les gens veulent de la merde dans le petit écran! Le succès des téléréalités ne se dément pas. Pire: avec l'avènement de la TNT, il faut être motivé pour aller se cogner de l'émission de ce style, non? On est loin du 5+1 (5 chaînes en clair +1 cryptée)...
 

magellan

Modérâleur
Staff
Anecdote : hier, un journaliste du "petit Q" à la TV commentait l'accident mortel de tir sur le tournage d'un film d'Alec Baldwin.
Il a dit "celui qui a appuyé sur la détente". Ça m'a fait plaisir d'entendre ça plutôt que la plupart des fainéants qui cultivent l'ignorance en utilisant l'expression "doigt sur la gâchette".

Le devoir d'un journaliste devrait quand même être de se documenter et de comprendre les mots qu'il utilise. Si les journalistes expliquent savamment qu'un chauffard motard aime appuyer trop fort sur la pédale, ça me hérisse. Je me dis alors que les sujets que je ne maîtrise pas sont traités de la même façon, et que le "bruit de communication" remplace l'information sur trop de sujets.
Ah mais encore et encore ça n'est pas une nouveauté. Surfe sur les pages youtube de l'INA pour voir le traitement de l'info dans le passé, et tu verras, hélas, que la nostalgie n'a pas sa place. Ca n'a pas évolué, ça a juste changé de présentation (couleur, images, ton dans la voix...) mais ni sur le fond ni sur la qualité.
 

magellan

Modérâleur
Staff
Pour recentrer le débat autour du COVID.

C'est à cause de ces réflexions que je suis particulièrement attentif à ce qui se dit au sujet du COVID, et plus encore critique envers celles et ceux qui colportent n'importe quoi.

AVERTISSEMENT : ne le prends pas pour toi @dartyduck je ne fais que poser le problème.

Je suis totalement intolérant avec le double-discours du "les médias nous mentent", ceci pour légitimer la diffusion de fausses nouvelles, de déformations de la réalité ou de manière plus candide des rumeurs plus ou moins fondées. On ne peut pas dire dans le même temps "les médias sont pourris" et s'adosser à des sources encore plus pourries et non documentées.

Je mets dans le même sac les complotistes, les pseudo-médias (blogs, sites torchons, presse papier toilette...) parce qu'ils font la même chose. Il font dans le sensationnel, cherchent l'audience et non la réalité. Je n'use pas du mot Vérité parce que la Vérité n'existe pas là. Chacun a sa perception de ce qui est "vrai" (comprendre quand on passe la vue sur les faits au tamis de nos opinions), alors que la réalité, elle, est immuable.
Exemple: nous voyons tous la lune dans le ciel. C'est un fait. C'est la réalité commune à chacun. J'estime comme "vrai" qu'elle orbite autour d'une terre plus ou moins ronde, là où celui qui soutient que la terre est plate me soutiendra que la vérité est que la terre n'est pas ronde.

C'est pour cela, pour ce besoin personnel d'objectivité (qui passe souvent pour un intégrisme et une haine farouche d'autrui) qui me pousse à documenter mes réflexions, à tirer à boulet rouge sur les inepties et les inexactitudes. Je ne défends ni ne vilipende un état ou un parti. On s'en tape ici. Ce qui m'intéresse, c'est de tirer les enseignements de la crise, de ne pas prétendre qu'on a les réponses là où personne n'en avait... et qu'il y a encore énormément de questions posées auxquelles personne ne sait quoi répondre clairement.

Posons ces fameuses questions (sans filtre idéologique)
- On peut décemment penser que la crise se tasse un peu... mais que l'absence d'une solution pérenne est claire. Que va-t-on instaurer à terme pour tenter de "vivre avec"? La solution du pass sanitaire fait sens pour le moment afin d'inciter fermement la population à se vacciner. Cependant, avec l'inertie et les mutations, cela va en réduire peu à peu l'efficacité. Va-t-on écrire dans les constitutions des ajouts afin de pouvoir déployer plus rapidement des solutions contraignantes (confinement par exemple)?
- Dans quelle mesure la situation sanitaire des pays pauvres va maintenir la présence du virus? On a déjà du mal à descendre l'incidence à des niveaux vraiment acceptables... Alors quid du risque de retour de la pandémie si l'on relâche l'attention?
- La mise en lumière des carences économiques et administratives des états est terrible. On a pu constater que nombre de choix de gestion majoritairement antérieurs à la présidence actuelle, que certaines décisions de celle en cours mènent à un système social "riche", "efficace" dans l'absolu, mais qui finit par être à bout de souffle faute à la pression financière. Quels seront les enseignements? De l'investissement? Une revalorisation générale des salaires? Des politiques d'embauches plus séduisantes? De la communication massive pour faire revenir les étudiants dans la médecine hors des études de médecin?
- La crise a également révélée notre esclavage indirect. Oui, nous sommes indirectement esclaves de nos anciens esclaves (Chine en tête). Que va-t-on faire? Attendre que la crise s'écoule et continuer comme avant? Relocaliser avec à l'esprit tant le temps que le coût nécessaire à une telle relocalisation industrielle?
- Doit-on continuer à maintenir des structures parallèles et concurrentes dans la gestion de la médecine? Par où commencer la réforme pour avoir une vraie hiérarchie rapide et efficiente?
- Jusqu'à quel point doit-on tenir par la main le citoyen? On a vu des mouvements absurdes comme ceux de refuser le masque non pour des considérations médicales mais par pur esprit revêche. Jusqu'à quel point doit-on continuer à déresponsabiliser le citoyen?

Ce sont là mes questions, et il y en a sûrement d'autres que vous vous posez avec plus ou moins de légitimité (attention, j'entends par là non que les miennes soient plus légitimes, mais que certaines questions qu'on peut se poser ne sont pas à notre niveau de compétence/compréhension pour en saisir les réponses de manière concrète et légitime)
 
Dernière édition:

SergioVE

Tout à faire car rien n'est fait.
Le devoir d'un journaliste devrait quand même être de se documenter et de comprendre les mots qu'il utilise. Si les journalistes expliquent savamment qu'un chauffard motard aime appuyer trop fort sur la pédale, ça me hérisse. Je me dis alors que les sujets que je ne maîtrise pas sont traités de la même façon, et que le "bruit de communication" remplace l'information sur trop de sujets.
Comme disent certains journalistes : tes propos s'avèrent vrais ! (ou faux parfois...) :lol:
 
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