Je ne te suis pas bien. Si c'est le contrôleur SATA, il suffit de changer le disque de port ou de machine et tout baigne. Si c'est le contrôleur interne du disque, je ne vois pas pourquoi il merderait sur un chkdsk et pas sur un clonage.
Plutôt le contrôleur de disque. Pire, ça peut être le contrôleur USB - auquel cas, je suggère de sortir le disque de son boîtier, de le brancher direct sur un port SATA, de le cloner et de réparer le clone.Je ne te suis pas bien. Si c'est le contrôleur SATA, il suffit de changer le disque de port ou de machine et tout baigne. Si c'est le contrôleur interne du disque, je ne vois pas pourquoi il merderait sur un chkdsk et pas sur un clonage.
C'est vrai qu'ici c'est bien un disque externe et qu'un test après démontage aurait été judicieux, mais @tomdid a lancé son chkdsk d'emblée...Plutôt le contrôleur de disque. Pire, ça peut être le contrôleur USB - auquel cas, je suggère de sortir le disque de son boîtier, de le brancher direct sur un port SATA, de le cloner et de réparer le clone.
J'ai eu assez d'em...quiquinements avec des contrôleurs USB vers SATA pour savoir à quel point ces trucs sont casse-pieds, et c'est typiquement ma méthode lorsque je veux restaurer le disque : le sortir du boîtier, le cloner, réparer la copie pour récupérer les données, puis (en cas de succès) formater et exécuter un test SMART longue durée sur le disque.
Si ce dernier s'en sort sans erreur, j'y rebalance les données (c'est le dernier test : si la copie échoue encore c'est que le disque a vraiment morflé), je le monte dans un nouveau boîtier (à 15-30 balles le boîtier je ne m'embarrasse pas de garder l'ancien surtout si c'est visiblement lui qui a foiré), et roulez jeunesse.
Je ne lui jette pas la pierre, mais à sa place sachant que le disque est mécanique je ne l'aurais pas laissé tourner aussi longtemps : le temps qui passe est autant de temps où il peut se détériorer davantage. Mais bon, ça fait 25 ans que je suis confronté à des disques durs qui déconnent, j'ai pris certaines habitudes.C'est vrai qu'ici c'est bien un disque externe et qu'un test après démontage aurait été judicieux, mais @tomdid a lancé son chkdsk d'emblée...
Ah toi tu as connu aussi les HDD IBM qui mouraient plus vite que leur ombre...Je ne lui jette pas la pierre, mais à sa place sachant que le disque est mécanique je ne l'aurais pas laissé tourner aussi longtemps : le temps qui passe est autant de temps où il peut se détériorer davantage. Mais bon, ça fait 25 ans que je suis confronté à des disques durs qui déconnent, j'ai pris certaines habitudes.
Je me suis fadé du Winchester, de l'IDE en PIO, les premiers DMA, un ou 2 DeathStar, une paire de Big Foot, et des secteurs défectueux en veux-tu en voilà sur des disques système, NAS, RAID, USB, DOS, Windows, Mac, Linux - j'ai fait les mêmes bêtises et j'ai paumé quelques gigas de données, mais on apprend, on apprend...
Au point où il en est, autant finir le chkdsk, mais si celui-ci foire je recommande fortement ma méthodologie du post précédent - ça va plus vite, c'est pas trop cher (au pire on peut même retourner le SSD avant la fin de la période de réflexion, mais chut) et le taux de succès est assez élevé.
Ils ont été surnommés deathstar, mais oui c'était eux.Ah toi tu as connu aussi les HDD IBM qui mouraient plus vite que leur ombre...
(PS: c'était pas des deskStar plutôt? J'ai un énorme doute)
Quand je me souviens des centaines de machines retournées par mes clients à l'époque à cause de cela, je ne regrette vraiment pas de ne plus gérer de tels problèmes techniques.
Je confirme, ma mémoire ne m'a pas fait défaut pour le coup. Ahhhhh les stations IBM...Ils ont été surnommés deathstar, mais oui c'était eux.
D'où ma préférence pour un disque de boot Linux et d'utiliser dd - cette commande est tellement basique qu'elle est capable de créer une image au bit près. On peut lui dire de s'arrêter en cas d'erreur (défaut), ou de passer outre (copie parfaite, défauts inclus) ce qui permet de vraiment pouvoir bosser sur une image propre.Pensez-vous que je puisse tenter un clonage du HDD sur un SSD afin de récupérer les données sur le SSD et non depuis le HDD endommagé ?
Il m'a répondu :
Oui. Mais le clonage a aussi un risque. Assurez-vous de faire le processus sans aucune erreur.
Tu as quel boitier?J'ai pensé aussi à l'aspect défectueux de la connectique du boîtier.
Ou l'interface du disque tout simplement.Après, je ne sais pas si les secteurs défectueux repérés peuvent l'être dans le cas d'un boîtier réellement défectueux physiquement, mais mon problème soulève de nombreuses variables
Même pas dit que tu puisse l'ouvrir sans tout casser.C'est un boîtier Maxtor de base :
Vous devez être connecté pour voir les liens.
Si c'est trop cher, prends un HDD de 4 To...Ok, merci pour vos conseils ! En effet, 19 jours de moulinage... Et probablement bien plus encore à attendre sans certitude du résultat...
J'ai pensé aussi à l'aspect défectueux de la connectique du boîtier.
Par contre, il faut que je choppe un SSD de 3Go, ça va piquer.
De plus, je ne suis pas du tout sur Linux et je n'y ai jamais touché
Ce qui me fait deux états d'âme à vaincre avant de passer au test clonage.
Acronis semble une solution correcte mais je ne l'ai jamais essayé ; j'en ai juste entendu dire du bien (le logiciel de clonage de Crucial).
Je dois quand même étudier la question et me préparer avant de faire quoi que ce soit
C'est devenu rarissime d'avoir de la connectique spécifique pour un disque, tout simplement parce que ça coûte cher de développer un connecteur alors que le SATA fait l'affaire et ne coûte rien.Même pas dit que tu puisse l'ouvrir sans tout casser.
Autre chose si la connectique entre le disque et le boîtier est autre que SATA, tu l'as dans le Q.
Mais si c'est un SATA standard, il y a de forte chance pour que la récup soit plus simple avec un linux.