Polio@thomson
Habitué
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Cas pratique. Une poignée d'utilisateurs, proche d'un point d'accès, dispose du meilleur débit possible, soit 11 Mbits/s. Arrive ensuite un utilisateur dans la zone de couverture. Situé relativement loin du point d'accès, il est connecté à 1 Mbit/s. Dès que ce dernier utilise le canal sans fil pour communiquer et échanger des données, il provoque une véritable chute de débit pour tous les autres utilisateurs de la zone de couverture. Ceux-ci passent alors de 11 Mbits/s à 1 Mbit/s.
Petit bémol : deux raisons viennent atténuer les conséquences de cette anomalie. Il convient, tout d'abord, de rappeler que les équipements connectés au réseau l'utilisent encore de façon sporadique et non continue. L'impact est effectivement réduit dans le cas d'un téléchargement d'une page web. Il peut être, cependant, plus important dans l'éventualité d'une communication de longue durée (téléchargement, connexion audio et vidéo). La deuxième raison, indique le CNRS, vient des protocoles de niveaux supérieurs (TPC). Leurs mécanismes internes ont effectivement un effet de régulation sur les débits observés.
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Cas pratique. Une poignée d'utilisateurs, proche d'un point d'accès, dispose du meilleur débit possible, soit 11 Mbits/s. Arrive ensuite un utilisateur dans la zone de couverture. Situé relativement loin du point d'accès, il est connecté à 1 Mbit/s. Dès que ce dernier utilise le canal sans fil pour communiquer et échanger des données, il provoque une véritable chute de débit pour tous les autres utilisateurs de la zone de couverture. Ceux-ci passent alors de 11 Mbits/s à 1 Mbit/s.
Petit bémol : deux raisons viennent atténuer les conséquences de cette anomalie. Il convient, tout d'abord, de rappeler que les équipements connectés au réseau l'utilisent encore de façon sporadique et non continue. L'impact est effectivement réduit dans le cas d'un téléchargement d'une page web. Il peut être, cependant, plus important dans l'éventualité d'une communication de longue durée (téléchargement, connexion audio et vidéo). La deuxième raison, indique le CNRS, vient des protocoles de niveaux supérieurs (TPC). Leurs mécanismes internes ont effectivement un effet de régulation sur les débits observés.