bertrandheris
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Le journal Libération évoque le nouveau livre écrit par Pierre Bellanger qui lance un signal d'alarme au sujet de la pertev de notre souveraineté numérique.
En voici quelques extraits :
« Notre pays a livré sa souveraineté numérique sans débat et sans combat. C’est une catastrophe » : l’auteur de ces lignes n’est pas un fameux décliniste abonné aux unes du Point, mais un entrepreneur bien connu de la bande FM. Le patron de Skyrock, Pierre Bellanger, n’admet pas cette «étrange défaite » qui ne dit pas son nom . Il en a fait un livre-manifeste.
Lucide, il constate que les superpuissances du Web comme Google, Facebook ou Amazon contrôlent aujourd’hui l’Internet comme autrefois l’Empire britannique régnait sur les océans. Et ces « résogiciels » travaillent évidemment main dans la main avec « le complexe militaro-numérique » américain.
(...
« L’Internet ne vient pas s’ajouter au monde, il le remplace.» Comme le robot a chassé l’ouvrier, l’algorithme va se substituer à l’employé, assène Pierre Bellanger. Et il n’y aura pas de relais de croissance pour nous, Européens, car «l’Internet et ses services sont américains». Et il «siphonne nos emplois, nos données, nos vies privées, notre propriété intellectuelle, notre prospérité… »
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En voici quelques extraits :
« Notre pays a livré sa souveraineté numérique sans débat et sans combat. C’est une catastrophe » : l’auteur de ces lignes n’est pas un fameux décliniste abonné aux unes du Point, mais un entrepreneur bien connu de la bande FM. Le patron de Skyrock, Pierre Bellanger, n’admet pas cette «étrange défaite » qui ne dit pas son nom . Il en a fait un livre-manifeste.
Lucide, il constate que les superpuissances du Web comme Google, Facebook ou Amazon contrôlent aujourd’hui l’Internet comme autrefois l’Empire britannique régnait sur les océans. Et ces « résogiciels » travaillent évidemment main dans la main avec « le complexe militaro-numérique » américain.
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« L’Internet ne vient pas s’ajouter au monde, il le remplace.» Comme le robot a chassé l’ouvrier, l’algorithme va se substituer à l’employé, assène Pierre Bellanger. Et il n’y aura pas de relais de croissance pour nous, Européens, car «l’Internet et ses services sont américains». Et il «siphonne nos emplois, nos données, nos vies privées, notre propriété intellectuelle, notre prospérité… »
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