Non :
Le lecteur a besoin d'évasion, l'ordinaire de son quotidien ne le stimule pas et l'exposition au malheur des autres ne peut que rajouter de la tristesse à sa morne vie
Oui : Le voyeurisme du malheur est toujours vendeur (cf. téléréalité), la présentation de personnages ordinaires peut être un faire valoir pour le lecteur
Final : Au final comme tous livres, tout dépend du lecteur, le roman universel n'existe pas et chacun trouvera écho ou pas face à la morne et ordinaire existence de personnes malheureuses.