Allez le modéraleur prend pas la mouche
Porte bien ton nom.
Faut bien te titiller de temps à autres.
J'en ai plein le cul des geignards. "Ouinnn c'est toujours la fauuute à autruiiiiiii."
ça me sort par tous les pores de la peau cette attitude. Si ça reste confiné ça va gémir "ouinnn on veut sortir", et si l'on libère "ouinnn va y avoir des souciiiiiiis".
Je n'ai plus aucun humour là. Je n'ai aucune raison de rire à de tels propos.
- Les gestes barrières, ça vous parle? Qui les applique?
- Pour les revenus: tu en parleras à toutes les entreprises fermées et coulées par cette crise, puis du manque à gagner pour les salariés avant même de parler de l'état. Commence par reluquer pourquoi les ricains eux se foutent du confinement et se mettent en danger... parce qu'ils n'ont pas la couverture qu'a octroyé l'état ici aux citoyens. Donc STOP: un état sans salarié ne fonctionne pas. Un état sans gens qui consomment n'a pas de budget. Donc le salarié a intérêt à quitter le confinement au plus vite, autant si ce n'est plus que l'état qui espère revoir circuler le fric.
- L'écologie: qui ne trie pas, balance ses merdes dans la nature? Les gouvernants peut-être? qui prend la bagnole pour faire 100m?
- La cambriole: oui et? Oui effectivement si tu es assez con pour faire confiance à la nature humaine, ne viens pas chialer quand elle te la met à l'envers.
@svoglimacci : colle-la toi bien profondément cette fameuse sauce...en espérant que cela te sorte de ta zone de confort. C'est tellement plus facile de reporter les fautes sur autrui, de ne pas regarder en face les faits. ON autant que TOI sommes cette foutue société, et ON dans son ensemble sommes responsables du comportement débile de la foule. ça te déplaît tant que ça qu'on te mette le nez dans ta propre merde? N'est-ce pas toi qui a râlé concernant ton entourage qui se torchait PENDANT le confinement avec les gestes élémentaires de protection?
Je suis gavé par ces discours où chacun se dédouane de tout. "La pollution c'est pas moi". "La surconsommation c'est pas moi". C'est jamais "on", c'est toujours "eux".