je voulais vous laisser deviner
I don't remember the moment, I tried to forget
I lost myself, is it better not said
Now I'm closer to the edge.
It was a thousand to one
And a million to two
Time to go down in flames and I'm taking you
Closer to the edge
No, I'm not saying I'm sorry
One day maybe we'll meet again
No, I'm not saying I'm sorry
One day maybe we'll meet again
NO! NO! NO! NO!
Can you, can you can you
Can you imagine a time when the truth ran free
The birth of a song the death of a dream
Closer to the edge
This never ending story
Paid for with pride and fate
We all fall short of glory
Lost in our fate.
No, I'm not saying I'm sorry
One day maybe we'll meet again
No, I'm not saying I'm sorry
One day maybe we'll meet again
NO! NO! NO! NO!
NO! NO! NO! NO!
I will never forget
NO! NO!
I will never regret
NO! NO!
I will live my life
NO! NO! NO! NO!
I will never forget
NO! NO!
I will never regret
NO! NO!
I WILL LIVE MY LIFE!
No, I'm not saying I'm sorry
One day maybe we'll meet again
NO! NO!
No, I'm not saying I'm sorry
One day maybe we'll meet again
NO! NO! NO! NO!
Closer to the edge
Closer to the edge
NO! NO! NO! NO!
Closer to the edge
Closer to the edge
NO! NO! NO! NO!
Closer to the edge
Mais j'aime bien et j'assume...Le soleil m'abandonne
Et la mort me fredonne
La chanson de l'hiver
Et je revois mon père
Je revois son visage
Me sourire, enfant sage
Dans le ciel d'Italie, trois étoiles pleurent encore
Dans la chambre mortuaire tapissée de soie d'or
Le seigneur de l'Hermine fit embaumer mon corps
Da Vreizh e profan ma c'hal'n
Je laisse mon cœur en Bretagne
Ici
Les soleils chimériques ont emporté mes rêves
Je vous laisse un jardin, un matin, une trêve
Et j'entends la complainte
De la reine défunte
De ce petit vaisseau où repose mon cœur
Je demande aux Bretons de ne plus avoir peur
Moi la fille de l'Armor
Je ne crains pas la mort
Da Vreizh e profan ma c'hal'n
Je laisse mon cœur en Bretagne
Ici
Et je porte couronne
Et je porte un fardeau
Par les chemins de France
En signe d'allégeance
Se sont agenouillés ceux qui m'avaient trahie
Da Vreizh e profan ma c'hal'n
Je laisse mon cœur en Bretagne
Ici
Le mouton de Panurge - G. Brassens a dit:Elle n'a pas encor’ de plumes
La flèche qui doit percer son flanc,
Et dans son cœur rien ne s'allume
Quand elle cède à ses galants.
Elle se rit bien des gondoles,
Des fleurs bleues, des galants discours,
Des Vénus de la vieille école,
Cell's qui font l'amour par amour.
Des Vénus de la vieille école,
Cell's qui font l'amour par amour.
N'allez pas croire davantage
Que le démon brûle son corps.
Il s'arrête au premier étage,
Son septième ciel, et encor !
Elle n'est jamais langoureuse,
Passée par le pont des Soupirs,
Et voit comme des bêtes curieuses,
Cell's qui font l'amour par plaisir.
Et voit comme des bêtes curieuses,
Cell's qui font l'amour par plaisir.
Croyez pas qu'elle soit à vendre.
Quand on l'a mise sur le dos,
On n'est pas tenu de se fendre
D'un somptueux petit cadeau.
Avant d'aller en bacchanale
Ell' présente pas un devis,
Ell' n'a rien de ces bell's vénales,
Cell's qui font l'amour par profit.
Ell' n'a rien de ces bell's vénales,
Cell's qui font l'amour par profit.
Mais alors, pourquoi cède-t-elle,
Sans cœur, sans lucre, sans plaisir ?
Si l'amour vaut pas la chandelle,
Pourquoi le joue-t-elle à loisir ?
Si quiconque peut, sans ambages,
L'aider à dégrafer sa robe,
C'est parce qu'ell' veut être à la page,
Que c'est la mode et qu'elle est snob.
C'est parce qu'ell' veut être à la page,
Que c'est la mode et qu'elle est snob.
Mais changent coutumes et filles,
Un jour, peut-être, en son sein nu,
Va se planter pour tout' la vie
Une petite flèche perdu’.
On n' verra plus qu'elle en gondole,
Elle ira jouer, à son tour,
Les Vénus de la vieille école,
Cell's qui font l'amour par amour.
Les Vénus de la vieille école,
Cell's qui font l'amour par amour.