Destruction à distance ... d'un PC
Alors comme ça, le sénateur conservateur Orrin Hatch (Utah) a trouvé la parade contre les vauriens du P2P? Comme il l'a suggéré à ses collègues, il veut pouvoir détruire à distance leurs ordinateurs. Il a déjà contacté plusieurs sociétés pour savoir comment s'y prendre. Et suggère qu'on modifie la loi américaine sur les intrusions frauduleuses pour que les producteurs lésés se fassent justice eux-mêmes.
Notre bienveillant mormon, par ailleurs ancien pasteur, devrait pourtant savoir que charité bien ordonnée commence par soi-même: il s'avère que les menus de sa page officielle sur le site du Sénat (www.senate.gov/~hatch/) utilisaient un code JavaScript développé par la société britannique Milonic Solutions. Celle-ci facture entre 35 et 900 dollars la licence de ses codes. Or le site du sénateur Hatch ne pouvait justifier d'aucun numéro de licence, comme News.com a pu le vérifier dans le code html dudit site. Mais après coup, "on" s'est empressé de modifier la gaffe en douce. Le code signale à présent que «toutes les informations relatives au copyright (du code Javascript) DOIVENT rester en place, à TOUT moment».
Alors comme ça, le sénateur conservateur Orrin Hatch (Utah) a trouvé la parade contre les vauriens du P2P? Comme il l'a suggéré à ses collègues, il veut pouvoir détruire à distance leurs ordinateurs. Il a déjà contacté plusieurs sociétés pour savoir comment s'y prendre. Et suggère qu'on modifie la loi américaine sur les intrusions frauduleuses pour que les producteurs lésés se fassent justice eux-mêmes.
Notre bienveillant mormon, par ailleurs ancien pasteur, devrait pourtant savoir que charité bien ordonnée commence par soi-même: il s'avère que les menus de sa page officielle sur le site du Sénat (www.senate.gov/~hatch/) utilisaient un code JavaScript développé par la société britannique Milonic Solutions. Celle-ci facture entre 35 et 900 dollars la licence de ses codes. Or le site du sénateur Hatch ne pouvait justifier d'aucun numéro de licence, comme News.com a pu le vérifier dans le code html dudit site. Mais après coup, "on" s'est empressé de modifier la gaffe en douce. Le code signale à présent que «toutes les informations relatives au copyright (du code Javascript) DOIVENT rester en place, à TOUT moment».
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