+1.
La récupération de données est une chose assez complexe, car elle s'adosse à des algotihmes "logiques" cherchant à reconstruire la donnée de manière "cohérente".
Schématiquement: un fichier est stocké "deux" endroits différents, à savoir le fichier par lui-même sur le volume, et la "table d'allocation" qui est une sorte d'index qui donne au système l'arborescence.
Lors d'une suppression de fichiers, c'est en général la table d'allocation qui est mise à jour, afin que le système soit convaincu de pouvoir écrire là où étaient les fichiers.
Le logiciel de récupération fait la lecture physique de la zone de fichiers, et y scrute s'il existe des structures propres à reconstruire des données... mais il suffit d'un octet réécrasant la zone initiale pour que le fichier restauré soit corrompu.
Pour valider cela, il n'y a pas 1000 solutions: essayer divers logiciels de récupération, car tous n'ont pas forcément le même moteur d'analyse.