Ai-je besoin de cautionner?Quelle chance ! Moi c'est le contraire, et n'étant pas du tout permissif dans ce domaine, j'en suis devenu totalement misanthrope.
Ai-je besoin de cautionner?Quelle chance ! Moi c'est le contraire, et n'étant pas du tout permissif dans ce domaine, j'en suis devenu totalement misanthrope.
Je suis pour la tolérance sexuelle, et je dirais même que je m'en fous. Ce qui se passe chez les autres ne me concerne pas tant que cela n'attire pas de problème personnel, et plus encore si cela ne provoque pas de problèmes avec moi.tout est question d'éducation. Mes parents (ma mère surtout) ont fait en sorte que ma soeur et moi soyons éduqués dans la tolérance et l'acceptation de l'autre, sans jugement. Et honnêtement, je ne m'attache pas à ce qu'est la personne (c'est intime et ça la regarde), je m'attache à ses propos et ses actes.
Je ne suis pas raciste/homophobe/grossophobe, je déteste juste les cons
Deux choses m'ennuient dans la notion de tolérance.Je suis pour la tolérance sexuelle, et je dirais même que je m'en fous...
Plus de deux choses m'ennuient dans la notion d'intolérance 😕Deux choses m'ennuient dans la notion de tolérance.
Tu devrais tolérer l'intolérance ! Paraît que cela fait du bien...Plus de deux choses m'ennuient dans la notion d'intolérance 😕
Le TigreLa tolérance ? Il y a des maisons pour ça...
Soyons précis. La tolérance chez moi c'est "faites ce que vous voulez tant que ça ne fout pas le bordel".Deux choses m'ennuient dans la notion de tolérance.
Tout d'abord, on ne tolère évidemment que des opinions ou des actes avec lesquels on n'est pas d'accord, et cela peut être considéré au mieux comme du je-m'en-foutisme, au pire comme une forme de mépris.
Ensuite, la tolérance aux extrêmes peut conduire à leur laisser le pouvoir. Si si, ça s'est vu...
C'est la potilique qui a été appliquée depuis très longtemps en France. Bonne chose ou mauvaise chose, le plus dur c'est de fixer un seuil d'acceptation du "bordel".Soyons précis. La tolérance chez moi c'est "faites ce que vous voulez tant que ça ne fout pas le bordel".
Je ne parlais pas de cela ne dérivons pas. Je parle de sexualité comme de la religion, ce sont des choses sensibles, privées, et poser dessus un jugement est hors-sujet pour moi tant que cela ne devient pas un outil de politique et/ou de propagande. Musulman, juif, catho? Je m'en fous. Hétéro, bi, gay? Je m'en fous... mais ne me jette rien de tout ceci au visage comme si je devais courber l'échine au lieu de n'obtenir de moi au pire l'indifférence, au mieux le respect de vos pratiques et rites.C'est la potilique qui a été appliquée depuis très longtemps en France. Bonne chose ou mauvaise chose, le plus dur c'est de fixer un seuil d'acceptation du "bordel".
Salut et bon dimanche !(...)
En fait, si l'éducation sexuelle à l'école à été mise en place, ce n'est pas parce que les enfants ne se posent pas de questions, c'est juste qu'ils n'ont personne à qui les poser. Beaucoup trop de parents refusent de répondre, ou ne sont tellement pas ouvert à ça ni proches de leurs enfants que les enfants ne se voient pas confier leur intimité à leurs parents.Salut et bon dimanche !
Je réagis : à mon avis, ce n'est pas à l'adulte de décider de l'âge auquel un enfant peut, ou pas, aborder un sujet. Par contre, il faut être capable de répondre aux interrogations, à l'âge où elles arrivent, avec les mots qui conviennent. Et bien souvent, l'adulte répond "mécanique" quand l'interrogation de l'enfant était "sentiment".
Je trouve très saine la remarque de DD sur sa fille plus sensible à la personne qu'à son genre. Et en celà on fait bien de la sexualité une affaire de personnes et d'intimité, plutôt qu'une norme ou prétendue normalité.
C'est plus pernicieux. L'éducation sexuelle au sens où elle est faite actuellement tient presque du prosélytisme. Expliquer COMMENT se passe le sexe... oui, pas en poussant dans un sens ou dans l'autre. Et ça, c'est une vraie problématique. Au surplus, je doute fermement que nos enseignants soient en mesure d'avoir la psychologie pour le faire correctement. Il suffit de voir le nombre de personnes qui consultent des psys ou des sexologues pour se convaincre qu'on n'aborde pas ce sujet de manière innocente.Réactions aussi.
- la tolérance sexuelle évoquée ici doit parfois devenir de l’intolérance et j’espère que c’est votre attitude à tous,
- pour l’éducation sexuelle des enfants, je suis en désaccord avec vous : bien des drames seraient évités si elle était entreprise suffisamment tôt.