D'ici quelques jours, plusieurs États décideront – ou non – de combler une lacune fiscale qui permet aux multinationales de détourner mille milliards de dollars chaque année. C’est assez d’argent pour éradiquer la pauvreté, scolariser tous les enfants et doubler les investissements écologiques! La plupart des pays veulent faire payer les multinationales, mais les États-Unis et le Canada restent indécis. Pour que les négociations aboutissent, nous devons faire monter la pression!
Mille milliards de dollars, c’est d'avantage que le budget mondial de la défense. C’est plus que le budget de 176 pays réunis. C'est l'équivalent de mille dollars pour chaque famille sur Terre. Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est la somme que les plus riches entreprises et particuliers parviennent à détourner chaque année grâce à l’évasion fiscale.
Lutter contre ces pratiques ne devrait même pas faire débat. Pour rétablir d'un coup les finances publiques en ces temps de coupes budgétaires et d’explosion de la dette, il n’y a qu’une chose à faire : faire en sorte que chacun paie les impôts qu’il doit payer. Mais les grandes entreprises américaines font pression pour protéger leurs pratiques. Ensemble, faisons savoir au monde entier que que le Président Obama et le PM canadien Stephen Harper osent encore hésiter entre soutenir la corruption et faire naître un immense progrès pour la planète? Atteignons un million de signatures et Avaaz remettra notre appel directement aux dirigeants du G8 et aux medias en plein milieu des négociations:
Apple, l’une des entreprises les plus riches du monde, n’a en gros pas payé un seul dollar d’impôt sur les 78 milliards de dollars qu’elle a engrangés ces dernières années, grâce à un système de sociétés-écrans hébergées dans des paradis fiscaux et la déclaration de ses bénéfices à l’étranger. Ces fraudes fiscales à l’échelle mondiale donnent aux multinationales une longueur d’avance par rapport aux plus petites entreprises. Elles sont aussi nuisibles à économie de marché qu’à la démocratie et à la stabilité économique.
Mais dans quelques jours, les États pourraient prendre des mesures pour rendre plus difficile la fraude vers l’étranger et les paradis fiscaux. Cet ensemble de mesures impliquerait le partage d’informations fiscales entre États et l’obligation pour les sociétés-écrans de révéler qui elles cachent. Si les discussions avancent cette semaine, le G8 pourrait accepter ces mesures ce mois-ci.
Dans ces temps de privation où tous les États réduisent leurs dépenses sociales, pourtant vitales, il est scandaleux de voir que les plus riches peuvent se soustraire à leurs obligations (surtout quand cette crise a été causée par des dépenses excessives pour sauver des banques appartenant à ces mêmes richissimes individus). Les pouvoirs publics songent enfin sérieusement à combler ces lacunes budgétaires, mais les États-Unis et le Canada restent sous l’emprise du puissant lobbying des multinationales.
Notre pétition massive, qui attirera l’attention des médias, permettra de montrer du doigt les pays qui bloquent cet accord. Obama et Harper devront alors répondre de leurs actes. Nous, citoyens, appelons Obama et Harper à choisir : préfèrent-ils redynamiser l'économie de la planète ou conserver dans notre fiscalité ces failles béantes qui nourrissent la corruption? Notre mobilisation fera appel à leur conscience et à leur bon sens. Nous ne pouvons pas laisser les lobbyistes gagner dans l’ombre. Faisons toute la lumière sur ces discussions pour attirer l’attention de tous sur cette décision, dont les conséquences sur la planète seront primordiales...
Mille milliards de dollars, c’est d'avantage que le budget mondial de la défense. C’est plus que le budget de 176 pays réunis. C'est l'équivalent de mille dollars pour chaque famille sur Terre. Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est la somme que les plus riches entreprises et particuliers parviennent à détourner chaque année grâce à l’évasion fiscale.
Lutter contre ces pratiques ne devrait même pas faire débat. Pour rétablir d'un coup les finances publiques en ces temps de coupes budgétaires et d’explosion de la dette, il n’y a qu’une chose à faire : faire en sorte que chacun paie les impôts qu’il doit payer. Mais les grandes entreprises américaines font pression pour protéger leurs pratiques. Ensemble, faisons savoir au monde entier que que le Président Obama et le PM canadien Stephen Harper osent encore hésiter entre soutenir la corruption et faire naître un immense progrès pour la planète? Atteignons un million de signatures et Avaaz remettra notre appel directement aux dirigeants du G8 et aux medias en plein milieu des négociations:
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Apple, l’une des entreprises les plus riches du monde, n’a en gros pas payé un seul dollar d’impôt sur les 78 milliards de dollars qu’elle a engrangés ces dernières années, grâce à un système de sociétés-écrans hébergées dans des paradis fiscaux et la déclaration de ses bénéfices à l’étranger. Ces fraudes fiscales à l’échelle mondiale donnent aux multinationales une longueur d’avance par rapport aux plus petites entreprises. Elles sont aussi nuisibles à économie de marché qu’à la démocratie et à la stabilité économique.
Mais dans quelques jours, les États pourraient prendre des mesures pour rendre plus difficile la fraude vers l’étranger et les paradis fiscaux. Cet ensemble de mesures impliquerait le partage d’informations fiscales entre États et l’obligation pour les sociétés-écrans de révéler qui elles cachent. Si les discussions avancent cette semaine, le G8 pourrait accepter ces mesures ce mois-ci.
Dans ces temps de privation où tous les États réduisent leurs dépenses sociales, pourtant vitales, il est scandaleux de voir que les plus riches peuvent se soustraire à leurs obligations (surtout quand cette crise a été causée par des dépenses excessives pour sauver des banques appartenant à ces mêmes richissimes individus). Les pouvoirs publics songent enfin sérieusement à combler ces lacunes budgétaires, mais les États-Unis et le Canada restent sous l’emprise du puissant lobbying des multinationales.
Notre pétition massive, qui attirera l’attention des médias, permettra de montrer du doigt les pays qui bloquent cet accord. Obama et Harper devront alors répondre de leurs actes. Nous, citoyens, appelons Obama et Harper à choisir : préfèrent-ils redynamiser l'économie de la planète ou conserver dans notre fiscalité ces failles béantes qui nourrissent la corruption? Notre mobilisation fera appel à leur conscience et à leur bon sens. Nous ne pouvons pas laisser les lobbyistes gagner dans l’ombre. Faisons toute la lumière sur ces discussions pour attirer l’attention de tous sur cette décision, dont les conséquences sur la planète seront primordiales...