Définition d'un vaccin :
Wikipédia :
Larousse :
Robert :
Soit il faut changer la définition du mot vaccin, soit les produits vendus pour cette maladie et que vous vous êtes empressés de vous faire injecter plusieurs fois (et c'est pas fini) ne sont en aucun cas des "vaccins".
Le vaccin contre le tetanos est un vaccin, on le fait puis on fait une dose de rappel tous les 10 ou 15 ans. 10 ans c'est durable eu égard à la durée de vie d'un être humain. Mais les "vaccins" pour le SARS-CoV-2 n'immunisent pas, et en plus ont une période d'efficacité extrêmement courte.
D'ailleurs, le "vaccin" contre la grippe (celui que certains font chaque année), c'est le même topo.
Tiens, voilà une nouvelle définition à proposer pour Vaccin :
En l'état actuel de la définition de ce mot, peut-on vraiment appeler ces produits des vaccins ? Dans ce cas, puis-je dire que mon canapé est une chaise ? Que ma voiture est un skateboard ? Vous avez 4h.
La définition est pourtant explicite et incontournable, et que tu sois ou non d'accord elle détaille parfaitement ce que l'on a reçu en injection:
- C'est une préparation biologique. C'est le cas puisqu'il s'agit bien (pour énormément simplifier) d'un virus modifié afin d'en diminuer notablement les effets sur notre organisme
- Le but est bien de stimuler notre immunité afin que ledit virus soit cartographié dans notre organisme afin que celui-ci le combatte.
- L'immunité est adaptative puisqu'elle permet justement de s'adapter à des agressions biologiques diverses et même inconnues. C'est justement ça qui fait qu'on ne meurt pas d'un rhume, et que peu à peu nous avons eu une amélioration de la réponse immunitaire générale contre les formes diverses de la grippe.
- Immuniser fonctionne et les statistiques le prouvent et nul vaccin est parfait.
Avant de te lancer dans de tels débats, je t'invite aussi à potasser la fiabilité des autres vaccins. Aucun vaccin ne peut se targuer d'un 100%, et encore moins une létalité zéro. De là, c'est le concept de bénéfice/risque qui est exploité. "Est-ce que le bénéfice global quantifiable est insuffisant face à la mortalité potentielle du traitement?"
Avec des raisonnements aussi absurdes tels que le "ça marche pas assez bien c'est de la merde", on ne pratiquerait tout simplement pas la chimiothérapie ou la radiothérapie! Réfléchis: ces deux traitements sont la destruction brutale de zones du corps afin d'y anéantir des cellules malades/dégénérées. Je dis bien zones, car on détruit ce qu'il y a autour aussi. Vue la mortalité induite par le cancer, doit-on alors estimer que ces traitements sont insuffisamment efficaces, trop toxiques (car nombre de patients meurent de ces méthodes en lieu et place du cancer lui-même) et par conséquent en rejeter les bienfaits?