Escape Room : bon ça se regarde, c'est pas trop mal. certaines scènes sympa, un scénar pas trop foireux (6 personnes se retrouvent dans un escape game géant, et mortel bien sûr donc vu le pitch ça aurait pu être pire).
oui, cet opus nous explique comment Rocket est devenu ce qu'il est aujourd'hui.Pas vu encore mais avec mon gamin on a adoré le 1er. Le 2e est un cran en dessous mais quand même. A voir donc !
un remake de Cube ?Escape Room : bon ça se regarde, c'est pas trop mal. certaines scènes sympa, un scénar pas trop foireux (6 personnes se retrouvent dans un escape game géant, et mortel bien sûr donc vu le pitch ça aurait pu être pire).
Bridges est juste insupportable dans le deux...Pas vu encore mais avec mon gamin on a adoré le 1er. Le 2e est un cran en dessous mais quand même. A voir donc !
un remake de Cube en mode escape game oui ...un remake de Cube ?
Ce film indépendant est considéré comme un coup de maitre aux USA. Tourné pour un budget microscopique (quelques milliers de dollars) avec la plus petite RED et des GH4, les deux auteurs / réalisateurs / acteurs / dir phot ont presque tout fait. Evidemment, tout le monde était bénévole. Le film a rapporté près d'un million de dollars rien qu'en salles, avant d'en rapporter davantage en DVD puis en streaming. La fin est volontairement sujette à interprétation. C'est une toute autre démarche qu'un succès mythique comme The Blair Witch Project, qui avait un budget 10x supérieur et avait pris le parti de ne pas montrer grand chose à cause de cela (et est devenu le film le plus rentable de l'histoire du cinéma, avant d'être détrôné par Paranormal Activity). Ici, ils ont un budget ridicule et ont cherché à faire un vrai film, avec une belle image, des SFX, des comédiens impliqués.The Endless ... Ca se regarde mais c'est mou. Faut s'accrocher. Le scénar est intrigant, le jeu d'acteurs est bon. Jusqu'au bout on essaie de comprendre un minimum ce qui se passe, sans être trop sûr de rien à la fin.
Et puis il y a aussi eu (et surtout) la démarche cynique de bien des boites de production pissant du Z movie par km entiers de pellicule pour saturer le marché des midnight movies aux USA, puis le marché de la VHS. Ces "trucs" qui n'ont rien de nanar car faits à peu de frais pour être ensuite vendus à vil prix mais en quantités délirantes ont littéralement mené les clients et spectateurs à se méfier de toute production fauchée.Ce film indépendant est considéré comme un coup de maitre aux USA. Tourné pour un budget microscopique (quelques milliers de dollars) avec la plus petite RED et des GH4, les deux auteurs / réalisateurs / acteurs / dir phot ont presque tout fait. Evidemment, tout le monde était bénévole. Le film a rapporté près d'un million de dollars rien qu'en salles, avant d'en rapporter davantage en DVD puis en streaming. La fin est volontairement sujette à interprétation. C'est une toute autre démarche qu'un succès mythique comme The Blair Witch Project, qui avait un budget 10x supérieur et avait pris le parti de ne pas montrer grand chose à cause de cela (et est devenu le film le plus rentable de l'histoire du cinéma, avant d'être détrôné par Paranormal Activity). Ici, ils ont un budget ridicule et ont cherché à faire un vrai film, avec une belle image, des SFX, des comédiens impliqués.
Le film est devenu l'emblème du cinéma indépendant à micro-budget. En effet, ils ont prouvé qu'avec 5000$ et énormément de débrouille, on pouvait faire un film qui tienne la route et qui soit distribué en salles. C'est très difficile de monter des films de ce type aux USA, le réseau de distribution est une vraie mafia à la solde des studios.
Lorsque j'ai vu ce film, ça m'a replongé dans les années 80, époque à laquelle les jeunes Sam Raimi et Peter Jackson bricolaient leur film les week-end avec des potes. Ce qui est frappant, c'est que leurs films, même s'ils étaient inventifs et pas dénués de qualités, faisaient quand même très amateur (Evil Dead et Bad Taste), ce qui n'est pas du tout le cas de The Endless. Cela donne un petit aperçu de l'expertise acquise en 40 ans par le cinéma indépendant. Un film comme Bad Taste ne sortirait probablement pas aujourd'hui, il serait considéré comme invendable de par son amateurisme. Les temps changent...
j'avais déjà été affligé par le premier. L'esthétique ne fait absolument pas un film, sinon la série des Transformers seraient des oeuvres majeures!Avatar 2 Je rejoins l'avis a peu près général ici : le scénario tient sur un post-it, et ce peu se compose essentiellement des clichés navrants d'une bonne partie du cinéma américain et de situations téléphonées vues cent fois, jusqu'au méchant mort qui n'est pas mort parce qu'il faut bien pouvoir continuer la saga. Des images de synthèse superbes mais exagérément étirées font qu'en dehors de scènes d'action bien menées, on se prend à bailler d'ennui. Cela dit les trois heures passées à le regarder ne sont pas totalement perdues : je m'éviterai soigneusement les quatre suites annoncées...
j'avais déjà été affligé par le premier. L'esthétique ne fait absolument pas un film, sinon la série des Transformers seraient des oeuvres majeures!
des gens sont allés voir Oppenheimer ? c'est le prochain film sur ma liste et ça à l'air d'être du très bon !